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La porte de ta chambre Acrylique
Une pensée étrange envahit mon esprit, agace ma mâchoire et rend ma main fébrile. Une pensée, c’est plus volontaire qu’un sentiment, plus complexe et construit qu’une idée, plus vaste qu’un désir, plus contrôlé qu’une pulsion. Mais cette pensée là est animale. Je vois la porte de ta chambre. Je voudrais m’agenouiller devant elle, lui baiser les pieds, puis la caresser doucement en remontant le long de ses jambes. Je soulèverais lentement ses jupes, jusqu’à sa petite culotte. Alors, je frotterais mon nez contre son nombril, avec un mouvement tournant, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre.
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